Les derniers qui restaient ont été contrôlés par la gendarmerie à la fin du tractage.
D'abord énervés les gendarmes sont arrivés toutes sirènes hurlantes et nous ont bloqués alors qu'on partait. Ils nous ont demandé nos papiers et pour moi ils voulaient savoir à quel syndicat j'appartenais. Je ne leur ai pas répondu. Ils se sont ensuite calmés. voyant qu'ils n'avaient pas affaire à de dangereux "terroristes" et nous ont laissés repartir sans encombres. Ca a bien bouchonné un bon moment, les gens en majorité ont été sympathiques.
Valérie Mandoul
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