La loi promulguée,
pas question de battre en retraite. La CGT, avec le renfort de Solidaires et de la FSU, continue donc la lutte et propose de nouvelles actions. «. Une affaire poursuit le secrétaire de la CGT
«pour laquelle j'ai porté plainte, et dont je n'ai aucune nouvelle après m'être soumis à une contre-expertise médicale.»
Toujours mardi, mais en fin de journée cette fois, les syndicalistes innovent en programmant
«un pique-nique tiré du sac sur le site d'Alès-plage suivi d'un cortège nocturne à la lueur des flambeaux vers la mairie».
Le bilan de ce début de semaine sera tiré en assemblée générale mercredi à 17h30, prélude à une manifestation fixée le samedi 20 novembre à 15 heures devant le foyer des jeunes travailleurs. Suivie d'un débat public à la Bourse
du travail «
sur le mouvement social actuel. J'adresse une invitation par lettre recommandée au député Max Roustan pour qu'il se joigne à nous. Même s'il a réaffirmé qu'il ne parlerait jamais avec nous. Seuls les imbéciles ne changent pas d'avis.» Les syndicalistes, eux, persistent et signent, il n'est pas de loi qui ne soit pas révisable. Même si l'unité syndicale se fissure, Fabrice Durand déplore ne plus voir dans les AG interprofessionnelles les délégués CFDT ou FO, «
on ne les a pas vus beaucoup non plus dans les actions», on ne peut pas appeler à régler les problèmes lors des présidentielles de 2012». Pour les cégétistes alésiens, qui ont été les plus en pointe dans la bataille, «
cette séquence est destinée à montrer que nous ne renonçons pas à combattre des mesures injustes. Dans les AG, les salariés ne disent pas autre chose. Le mouvement est profondément ancré. Nous irons jusqu'au bout pour créer le rapport de forces nécessaire et obtenir l'ouverture de négociations. Tant que Bernard Thibault annoncera des manifs nationales, à Alès on tiendra!» R.D.
Fabrice Durand, secrétaire CGT.
sur le mouvement social actuel. J'adresse une invitation par lettre recommandée au député Max Roustan pour qu'il se joigne à nous. Même s'il a réaffirmé qu'il ne parlerait jamais avec nous. Seuls les imbéciles ne changent pas d'avis.» Les syndicalistes, eux, persistent et signent, il n'est pas de loi qui ne soit pas révisable. Même si l'unité syndicale se fissure, Fabrice Durand déplore ne plus voir dans les AG interprofessionnelles les délégués CFDT ou FO, «
on ne les a pas vus beaucoup non plus dans les actions», on ne peut pas appeler à régler les problèmes lors des présidentielles de 2012». Pour les cégétistes alésiens, qui ont été les plus en pointe dans la bataille, «
cette séquence est destinée à montrer que nous ne renonçons pas à combattre des mesures injustes. Dans les AG, les salariés ne disent pas autre chose. Le mouvement est profondément ancré. Nous irons jusqu'au bout pour créer le rapport de forces nécessaire et obtenir l'ouverture de négociations. Tant que Bernard Thibault annoncera des manifs nationales, à Alès on tiendra!» R.D.
Fabrice Durand, secrétaire CGT.
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